Il pleut dehors, mon chien est mort
Les filles sommes quand même passées maître(sse)s dans l'art de l'auto destruction. Je m'explique. Je viens de jeter un petit oeil sur ma discographie de l'année dernière que j'avais en Angleterre. Pffff, je devais être vraiment déprimée à ce moment là. Juste quelques exemples :
James Blunt : Goodbye my lover (rien de tel pour se rappeller une rupture pas forcément bien digérée)
Charlotte Church : Even God can't change the past (tout pareil)
Jean Louis Aubert : Voilà c'est fini (re-idem)
J'aurais encore une longue liste mais ce qui me fait sourire, c'est que le genre de chanson que j'écoutais en boucle dans les moments de tristesse, bah maintenant, je peux plus les entendre, pareil pour les films à l'eau de rose qui me font pleurer à mort. J'en veux plus. Je me mets à regarder des films d'action (pour le plus grand bonheur de mon chéri), des films comiques (franchement camping pour vous, ça représente rien mais pour moi, ça a été un grand pas). Serait-ce donc cette chose qu'on appelle le bonheur qui rend comme ça ?